Le matérialisme et son rejet salvateur

Dans les différents temples bouddhinstes de Noordzeeland, sur conseil des plus honorables maîtres de la Congrégations, les religieux donnèrent des cours supplémentaires aux fidèles, ainsi qu'aux curieux, sur le matérialisme vu par le bouddhinsme.
Il allait de soi que cette manoeuvre avait pour but d'empêcher l'épanouissement de l'hébraïtisme en inculquant les vraies valeurs, contraires aux dogmes profondément matériels et superficiels des hébraïstes.

Le matérialisme et son rejet salvateur.

Le choedaarisme appelle à rejeter ce qui n'est pas nécessaire à l'homme car se tourner vers l'inutile -ce qui n'est pas nécessaire pour nous- signifie ne plus voir l'importance de l'élévation spirituelle étant donné que l'homme sera captivé par le bien matériel en accordant plus de forces qu'il n'est nécessaire au matériel. Le matériel est une perte de temps, au détriment de l'esprit.

Le matériel inutile appelle au matériel inutile. La possession superflue encourage l'homme à posséder plus, ton expérience personnel t'aura sans doute prouvé cela. Or, nous croyons à la satisfaction par le peu, car comment un homme ayant moultes possessions matérielles peut s'émerveiller et se satisfaire de ce qu'il possède ? Ceci perdant pour lui sa valeur : l'homme de peu donnera plus de valeur au peu, et ainsi montrera plus de respect aux choses, et pour finir se montrera à la fois plus digne (celui qui respecte est digne) et plus humble. L'homme matérialiste oubli la satisfaction.

Le matériel conduit donc au désir du matériel. Or, tout désir ne pouvant être nourrit fait souffrir l'homme car il ressentira le manque, alors que l'homme de peu qui s'émerveille et se contente possèdera moins de désir, et connaîtra moins la souffrance. Le matérialisme est souffrance pour l'homme.

Pour en revenir au cercle vicieux de la possession superflue : cela encourage l'homme à commettre des exactions pour combler ses désir, lorsqu'il n'a pas d'autres choix. Le vol ou le crime par exemple, mais aussi l'avarice et l'égoïsme car l'homme tendra à garder son bien pour ne pas rompre ses désirs. Le mal ne pouvant engendrer que le mal, cela signifie que la matière est de nature mauvaise. Le matériel conduit à la déchéance de l'homme.